Du 1er au 4 août 2024, dans le village de Foussais-Payré (85) Quatre jours pour créer avec des matériaux à recycler ou renouvelables : c'est le défi lancé à une quinzaine d'artistes et créateurs. Bois, métaux, cordage, végétaux, sable... autant de matériaux à transfigurer. L'art est souvent là où on ne l'attend pas.

mardi 9 août 2016

Ouest France évoque la sculpture de Maxence.

Maxence Terrier sculpte la vie sur du bois


  • Maxence Terrier a intitulé sa sculpture « Je suis la vie ». Au pied d'une racine où l'on voyait une représentation du Petit Prince, un enfant couché face contre la grève, lui aussi en bois, faisait référence à un événement tragique : la mort du jeune réfugié Syrien, Aylan.  Il a lu Frédéric Lenoir, qui l'a inspiré: « Cultivez la tolérance, ne soyez pas convaincus que vous seuls possédez la vérité ».
    Maxence Terrier a intitulé sa sculpture « Je suis la vie ». Au pied d'une racine où l'on voyait une représentation du Petit Prince, un enfant couché face contre la grève, lui aussi en bois, faisait référence à un événement tragique : la mort du jeune réfugié Syrien, Aylan. Il a lu Frédéric Lenoir, qui l'a inspiré: « Cultivez la tolérance, ne soyez pas convaincus que vous seuls possédez la vérité ». | 
Maxence Terrier a intitulé sa sculpture « Je suis la vie ». Au pied d'une racine où l'on voyait une représentation du Petit Prince, un enfant couché face contre la grève, lui aussi en bois, faisait référence à un événement tragique : la mort du jeune réfugié Syrien, Aylan. Il a lu Frédéric Lenoir, qui l'a inspiré: « Cultivez la tolérance, ne soyez pas convaincus que vous seuls possédez la vérité ».

Lire l'article sur le site de Ouest France

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